52Fi - Fonds de la famille Rifaux

2 medias répartis dans 2 lots

Déplier tous les niveaux

Cote/Cotes extrêmes

52Fi 1-52Fi106

Date

1900-1959

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon

Importance matérielle

92 plaques de verre, 4 tirages photographiques originaux, 5 photographies encadrées en version numérisée, 1 album de 14 tirages photographiques en version numérisée et 1 album contenant 99 cartes postales en version numérisée.

Origine

Famille Rifaux.

Biographie ou Histoire

Le fonds concerne directement 3 générations de la famille Rifaux. Le couple Rifaux Marchand. Camille Rifaux, né le 19 juillet 1873 à Tonnerre (Yonne), commerçant en bonneterie et cravaterie, 6 rue du Bât d'Argent à Lyon 1er, dont le père Henri était déjà marchand de gants à cette même adresse depuis le milieu des années 1880. Le commerce porte l'enseigne de « La cravate Rifaux ». Le 4 février 1900, Camille Rifaux épouse Cécile Jeanne Marchand, dite Jeanne ou « Jane », née le 14 mars 1877 à Lyon. Camille et Jeanne auront 3 enfants, Lucienne (née le 31 décembre 1900 à Lyon 2e), Henry (né le 18 mars 1903 à Lyon 1er) et Pierre (né le 5 décembre 1908 à Lyon 1er). Camille Rifaux a tenu quasiment jusqu'à son décès un journal, dans lequel il a consigné les petits et grands événements (naissances, mariages, décès, communions, succès ou échecs aux examens,&) relatifs à sa famille. La plupart du temps, il s'agit de faits, sans affect ni commentaire sur les émotions ressenties. De rares adjectifs laissent parfois poindre ses sentiments, comme des appréciations lapidaires sur des repas pris dans des restaurants lors d'un séjour en Bourgogne en 1950. L'exemple le plus significatif est probablement le décès de sa mère, Eugénie Blaisot, en mars 1936. Seule la date au stylo accompagne l'avis de décès publié dans la presse, découpé et collé dans son journal. Ce journal reste cependant une source unique pour la famille Rifaux, par tous les aspects généalogiques qu'il livre, tous les faits relatés, mais également tout ce qu'il laisse entrevoir ou ne dit pas& son amour pour son fils aîné, Henry, est ainsi flagrant. Le lien plus compliqué qu'il entretient avec son second fils, Pierre, est aussi perceptible. Son journal débute par son mariage avec Jeanne Marchand en 1900 et leur voyage de noces sur la côte méditerranéenne et en Italie. Tous les faits consignés jusqu'au milieu des années 1920 semblent plutôt factuels et basés sur sa mémoire, même s'ils peuvent être extrêmement précis, comme la première dent de sa fille, le 20 septembre 1901 ou le poids de son fils Pierre en décembre 1915. Jusqu'à la fin des années 1920, ils se résument toutefois souvent aux nombreux voyages effectués par la famille Rifaux, particulièrement dans l'Yonne, en Creuse et en Saône-et-Loire. À compter de cette période et notamment au début des années 1930, les épisodes familiaux sont plus nombreux et plus détaillés, comme si Camille les notait « en temps réel », les enrichissant de coupures de presse, de faire-part. En 1932, deux faits majeurs viennent toucher au cœur la famille Rifaux. En mai tout d'abord, l'effondrement de l'immeuble dans lequel vivait sa fille Lucienne qui, bien que sauvée, aura de lourdes séquelles et une vie irrémédiablement bouleversée par ce drame. En octobre de cette même année fatale, Herminie, leur belle-fille et épouse d'Henry, décède brutalement et de façon inexpliquée, laissant deux enfants en très bas âge et un jeune époux avec lequel elle venait d'ouvrir un cabinet dentaire place Carnot à Lyon. Camille et Jeanne décident d'emménager chez leur fils et de l'aider à élever ses enfants, Olivier et Huguette. À l'occasion de ces deux drames, Camille aura compilé le nom des victimes, des sauveteurs, le déroulé des événements, les blessures et les multiples opérations subies par Lucienne, les médecins l'ayant soignée et toutes les coupures de presse faisant le récit de la catastrophe ; pour Herminie, tous les avis de décès, les remerciements publiés dans la presse, la liste des personnes ayant assisté aux obsèques, les lettres reçues. Camille Rifaux vend son magasin en novembre 1954. Il notera encore quelques menus événements dans son journal, s'affaiblissant peu à peu, jusqu'au 9 avril 1956, où il s'éteint à Collonges-au-Mont-d'Or. Le fonds comporte plusieurs clichés de Jeanne Marchand, le livre de raison de son époux s'ouvrant notamment par une photo d'elle. Toutefois, on dispose de peu d'éléments sur sa vie, si ce n'est qu'elle n'a pas exercé de profession, a élevé ses enfants et a basculé en 1932 dans une quasi nouvelle maternité en prenant la suite de sa jeune belle-fille décédée. Jeanne apparait régulièrement dans le journal de Camille, essentiellement pour signaler les dates de ses séjours en vacances, de ses allées et venues pour de courts séjours dans sa famille ou encore le prix de ses lunettes... Les enfants du couple Rifaux Marchand. Lucienne Rifaux, dite « Lulu » ou « Lolotte », n'a pas entrepris d'études universitaires comme ses frères. À l'image de sa mère, elle est sans profession lorsqu'elle fait la rencontre d'un jeune homme, Louis Mathieu, avec lequel elle se fiance, puis se marie le 28 mai 1923 à Collonges-au-Mont-d'Or. Le 8 mai 1932, Lucienne se trouve prise dans l'effondrement de deux immeubles, aux 51 et 52 cours d'Herbouville à Caluire, où elle vit avec son époux. Grièvement blessée, elle est finalement secourue dans la nuit du 9 mai et s'avère l'une des rares survivantes sur les 30 personnes ensevelies sous les décombres. Deux ans après ce drame, son époux la quitte et le divorce sera prononcé le 1er mars 1938 par le tribunal civil de Lyon. Lucienne restera seule et sans enfant toute sa vie. Elle servira toutefois de seconde mère à ses neveux, orphelins de mère, et notamment à sa nièce, Huguette. Lucienne décède en octobre 1978. 20 ans après avoir échappé à la mort, elle continuait à subir des interventions chirurgicales, comme l'indiquent les mentions de son père à son sujet. Henry Rifaux entreprend des études de chirurgien-dentiste. C'est très probablement au cours de son cursus qu'il fait la rencontre d'Herminie Merguin dite « Ninon » (née le 5 octobre 1902 à Lyon 2e), elle aussi future chirurgienne-dentiste. Ils se marient le 18 mai 1920. Une fois diplômés, le jeune couple s'installe dans diverses villes de France et finit par ouvrir en 1932 un cabinet conjoint, place Carnot à Lyon. Ils accueillent à Grenoble le 13 juin 1930 un premier enfant, Olivier, puis le 16 janvier 1932, une petite fille, Huguette. Alors que toute la famille venait deux jours auparavant de quitter Grenoble pour emménager dans un nouvel appartement lyonnais, Herminie a une syncope dans sa salle de bain le 23 octobre 1932. Elle décède à son domicile, à tout juste 30 ans, laissant deux enfants en très bas âge et une famille sous le choc. Ses fréquents évanouissements, suivis de chutes, avaient été consignés par son beau-père dans son journal, sans qu'un diagnostic médical soit établi. Henry ne se remariera pas et élèvera ses enfants avec l'aide ses parents et de sa sœur Lucienne. À partir de 1935, la famille Rifaux loue à l'année la villa des Roses, sise à Collonges-au-Mont-d'Or. Henry finit par acquérir cette maison en juin 1938. Elle sera sa résidence principale jusqu'à son décès en avril 1956, puis continuera à être celle de son fils, Olivier, jusqu'à la disparition de ce dernier, en 2019. Pierre Rifaux, dernier de la fratrie, connaît un parcours scolaire plus chaotique que son frère aîné, même s'il devient lui aussi chirurgien-dentiste, en juin 1933. En octobre de cette même année, il commence son service militaire et intègre divers services de santé, dont l'hôpital Villemanzy à Lyon et l'hôpital Desgenette à Bron. Le 3 décembre 1932, Pierre épouse Berthe Piguet, dite « Berty » (née le 28 juillet 1909 à Vallières, Haute-Savoie) à la mairie du 1er arrondissement de Lyon. Leur mariage se solde par un divorce, prononcé le 4 novembre 1941 à Fort-de-France. En octobre 1936, Pierre avait en effet quitté la métropole pour s'installer en Martinique, sur la commune du François, pour y reprendre un cabinet de consultation. Revenu en métropole, il changera très fréquemment de villes (Cherbourg, Lodève, Tergnier, Ambérieu, Nîmes, Bastia,...) pour assurer des remplacements au sein de cabinets dentaires durant quelques semaines ou quelques mois. En mai 1943, Pierre épouse, en seconde noces, Henriette Fernande Maris (née le 15 juillet 1911), avec laquelle il aura quatre enfants : Colette (née le 19 octobre 1944), Francis (né le 7 février 1947), Camille (né le 26 mars 1949) et Dominique (né le 7 novembre 1951). Pierre retourne avec toute sa famille en Martinique en janvier 1953 et ne reviendra plus en métropole, il décède à Fort-de-France le 3 mai 1958. Malgré un parcours professionnel dans le milieu médical, Pierre aura sans nul doute été l'artiste de la famille. En février 1933, il mène ainsi la revue des étudiants de l'association générale des étudiants lyonnais au théâtre des Célestins, un grand spectacle intitulé « Cette A.G. sans pitié ». En 1934, il s'associe à un ami pour gérer la salle du théâtre des Concerts de l'Horloge, cours Lafayette à Lyon. Il publie également en 1948 un roman intitulé « L'enfant aux nuits de brume ». Les enfants du couple Rifaux Merguin. Olivier Rifaux poursuit dans les pas de ses parents, Henry et Herminie, en devenant à son tour chirurgien-dentiste, diplômé en juin 1954. Il épouse Odile Girin en 1957. Ils passeront leur vie dans la maison de Collonges, où ils auront plusieurs enfants, ces derniers étant à l'initiative du don des archives familiales. Quant à Huguette Rifaux, peu d'éléments sont consignés dans le journal de son grand-père, hormis ses études jusqu'au bac, puis son mariage en avril 1955. Comme la plupart des femmes de sa branche paternelle, Huguette reproduit un schéma courant pour l'époque, celui d'une jeune femme sans profession, mariée à 22 ans et rapidement mère d'une petite fille. Les Barmont. Le fonds comprend également un album de très belles cartes postales sur le Japon et les États-Unis. Ces cartes furent adressées depuis Yokohama, puis New-York, par Léon et Jane Barmont à la mère de Léon et à ses deux frères, Eugène et Jules. Léon Barmont semble avoir été un confrère de Camille Rifaux et son séjour prolongé au Japon, puis aux États-Unis, avait un but uniquement professionnel. Les adresses indiquées sur les cartes postales ont permis de retrouver une famille Barmont au 5 rue Mulet à Lyon en 1901, famille composée d'Henri, 53 ans, comptable à la banque Veuve Guérin, de Rose Julie Divet, 45 ans, sans profession et de deux enfants, Eugène, 13 ans et et Jules, 12 ans. Une dénommée Rose Barmont habite ensuite au 9 rue de Tunisie en 1906. Elle vit désormais seule, sans doute veuve et ses fils en études au petit séminaire de l'Argentière. Elle se déclare fleuriste et âgée de 55 ans. En 1911, dernière trace de Mme Barmont, toujours au 9 rue de Tunisie, qui dit s'appeler « Julie Barmont » et avoir 51 ans. Les deux garçons figurent quant à eux dans les actes d'état civil de Lyon : Eugène Léon, né le 29 août 1887 à Lyon 1er (acte n° 531) et Jules Joseph, né le 27 mars 1889 à Lyon 1er (acte n° 192). En mention marginale de l'acte de naissance de Jules Barmont est indiqué son décès le 27 juin 1949 à Chessy (Rhône). Camille Rifaux avait mentionné la perte de leur « grand ami » dans son journal à cette date et joint le faire-part envoyé par la famille Barmont, dont Jane, veuve de Léon Barmont, est la seule représentante encore en vie. Après ses études au séminaire, Jules était devenu chanoine.

Histoire de la conservation

L'ensemble des documents était conservé dans l'ancienne maison de M. Olivier Rifaux, à Collonges-au-Mont-d'Or.

Modalités d'entrées

Don de la famille Rifaux, le 8 septembre 2020.

Présentation du contenu

Le fonds est composé d'un livre de raison, de plaques de verre et de photographies illustrant des scènes de la vie de la famille Rifaux. Celle-ci ayant été très liée à une autre famille, les Barmont, le fonds comporte également un album de cartes postales envoyées du Japon et des Etats-Unis par Léon et Jane Barmont à des membres de leur famille, lors de leur séjour dans ces pays entre 1900 et 1906. Cet album a probablement été confié aux Rifaux par les Barmont. Quelques pièces originales ont été conservées par la famille Rifaux et seule leur version numérique est pour l'instant disponible. Il s'agit des cotes 52Fi1, 52Fi12, 52Fi15, 52Fi28, 52Fi31-32, 52Fi37, 52Fi55, 52Fi57 et 52Fi106. L'identification de certaines personnes reste incertaine, faite souvent de suppositions, de rapprochement physique ou de datation des vêtements.

Évaluation, tris et éliminations, sort final

15 plaques de verre, particulièrement dégradées et non identifiables, ont été écartées du classement et éliminées.

Accroissements

Il est à souhaiter que les 10 documents originaux, confiés aux Archives du Rhône seulement pour leur numérisation, soient un jour donnés et viennent rejoindre ce fonds, plus particulièrement le livre de raison tenu par Camille Rifaux jusqu'à son décès et brièvement complété par son fils, Henri Rifaux.

Mode de classement

Les documents ont été organisés en quatre parties, la première consacrée aux membres de la famille Rifaux, par ordre chronologique ; la deuxième, aux autres personnages représentés et pour la plupart non identifiés ; la troisième, aux lieux et enfin la quatrième, à l'album de cartes postales provenant de la famille Barmont.

Conditions d'accès

Les documents sont librement communicables uniquement sous leur version numérisée.

Conditions d'utilisation

Les documents sont librement reproductibles sous réserve de la mention de leur référence et du service des Archives départementales du Rhône.

Caractéristiques matérielles et contraintes techniques

Les tirages photos sont dans l'ensemble en assez mauvais état. Les dégradations les plus notables sont visibles sur les plaques de verre, dont les émulsions sont très fragilisées, signe d'une conservation peu appropriée pour ce type de support avant leur entrée aux Archives.

Autre instrument de recherche

Documents en relation

Archives départementales du Rhône et de la métropole de Lyon 6Fi - Photographies de dimensions supérieures ou égales à 24x30 cm. 7Fi - Photographies de dimensions inférieures ou égales à 24x30 cm. 39Fi - Photographies sur plaques de verre d'Antoine Dufour. 40Fi - Photographies sur plaques de verre de Louis Séraphin Clair. Recensements de population 6 rue du Bât d'Argent à Lyon 1er Domicile de la famille d'Henri Rifaux et son épouse Eugénie Blaisot (parents de Camille) 6M347 1886 (page 7) 6M380 1891 (page 6) 6M414 1896 (page 8) Domicile de la famille de Camille Rifaux 6M451 1901 (page 7) 6M490 1906 (page 6) 6M528 1911 (page 6) 6M568 1921 (page 6) 6M609 1926 (page 6) 6M655 1931 (page 6) Domicile de Pierre Rifaux et son épouse Berthe Piguet 6M705 1936 (page 5) 8 place Carnot à Lyon 2e Famille d'Henry Rifaux 6M706 1936 (page 10) Famille de Pierre Victor Marchand et son épouse Marie Bertrand (parents de Cécile Jeanne) Chemin de Saint-Denis de Bron à Lyon 3e 6M318 1881 (page 2) 36 rue Ferrandière à Lyon 6M416 1896 (page 10) 6M454 1901 (page 9) 6M493 1906 (page 11) 35 rue Tupin famille de Philippe Merguin (père d'Herminie) 6M493 1906 (page 3) 6M532 1911 (page 5) 6M572 1921 : néant 6M612 1926 (page 5) Famille Barmont. 5 rue Mulet à Lyon 6M451 1901 (page 2) 9 rue de Tunisie à Lyon 6M490 1906 (page 3) 6M529 1911 (page 3) Notaires Contrat de mariage Rifaux Marchand dressé devant Me Letord, notaire à Lyon, le 2 février 1900 3E35825 (janvier-mars 1900) Conservation des Hypothèques Acquisition d'un bâtiment à Collonges par Henry Rifaux, le 10 juin 1938. Répertoire des formalités - 4Q6/294 volume n° 161 case n° 96. Transcription hypothécaire 4Q6/2326 - volume n° 1224 article n° 26. Enregistrement 

Succession de Herminie Merguin épouse Rifaux (décès le 23 octobre 1932 à Lyon 2e) - Bureau de Lyon successions 1

Table des successions acquittées - 3Q31/1833 (page 102)

Déclarations de successions - 3Q31/1221 - n° 6 - mai 1933 Succession de Camille Rifaux (décès le 9 avril 1956 à Collonges-au-Mont-d'Or) - Bureau de Lyon successions 2 Table des successions acquittées 3Q32/2342 (page 160) Déclarations de successions néant Succession de Jeanne Marchand épouse Rifaux (décès le 8 septembre 1958 à Lyon 1er) - Bureau de Lyon successions 1 Table des successions acquittées 3Q1886 (page 113) Déclarations de successions néant Succession de Jules Barmont (décès le 27 juin 1949) - Bureau du Bois-d'Oingt Table des successions acquittées 3Q7/601 (page 17) Déclarations de successions 3Q7/464 - n° 218 - 18 octobre 1949 Tribunal civil de Lyon Jugement de divorce Rifaux Mathieu le 1er mars 1938 - Uciv1435 Registre du commerce et des sociétés de Lyon Commerce de bonneterie et cravaterie Rifaux rue du Bât d'Argent (n° 11940) 6UP1/3704 (page 567) - immatriculation en 1920 pour un commerce ouvert en 1900. Archives municipales de Lyon Etat civil Naissance Cécile Jeanne Marchand le 14 mars 1877 à Lyon 3e 2E934 (page 55) Louis Claude Mathieu le 17 octobre 1900 à Lyon 3e 2E1869 (page 95) Lucienne Pierrette Eugénie Rifaux le 1er janvier 1901 à Lyon 2e 2E1853 (page 6) Herminie Joséphine Reine Merguin le 5 octobre 1902 à Lyon 2e 2E1864 (page 13) Henri Alphonse Marius Rifaux le 18 mai 1903 à Lyon 1er 2E1938 (page 48) Pierre Marcel Hubert Rifaux le 5 décembre 1908 à Lyon 1er 2E2085 (page 81) Huguette Marie-Louise Claude Rifaux le 16 janvier 1932 à Lyon tables décennales à consulter en salle de lecture Henri Barmont le 18 février 1848 à Lyon (mairie unique) 2E433 (page 118) Rose Julie Divet le 23 septembre 1855 à Lyon 3e 2E862 (page 200) Eugène Léon Barmont le 29 août 1887 à Lyon 1er 2E609 (page 105) Jules Joseph Barmont le 27 mars 1889 à Lyon 1er 2E615 (page 35) Etat civil Mariage Camille Henry Rifaux et Cécile Jeanne Marchand le 3 février 1900 à Lyon 2e 2E1850 (page 20) Lucienne Pierrette Eugénie Rifaux et Louis Claude Mathieu le 26 mai 1923 à Lyon 1er 2E2138 (page 112) Henri Alphonse Marius Rifaux et Herminie Joséphine Reine Merguin le 15 mai 1926 à Lyon 2e 2E2200 (page 124) Pierre Rifaux et Berthe Louise Marcelle Piguet le 3 décembre 1932 à Lyon 1er 2E2149 (page 231) Henri Barmont et Rose Julie Divet le 4 novembre 1886 à Lyon 1er 2E607 (page 217) Etat civil Décès Cécile Jeanne Marchand épouse Rifaux le 8 septembre 1958 à Lyon 1er 2E3258 (page 64) Lucienne Pierrette Eugénie Rifaux épouse Mathieu le 8 octobre 1978 à Lyon 3e 2E3173 (page 25) Commune de Chessy Etat civil Décès Jules Barmont le 27 juin 1949. Commune de Collonges-au-Mont-d'Or Etat civil Décès Camille Henry Rifaux le 9 avril 1956. Henri Alphonse Marius Rifaux le 29 juin 1969. Commune de la Tronche (Isère) Etat civil Naissance Olivier Jean-Marie François Rifaux le 13 juin 1930. Archives départementales de l'Yonne Etat civil Naissance Camille Henri Rifaux le 19 juillet 1873 à Tonnerre 5Mi939/6 (pages 247-248)

Mots clés matières

Cote/Cotes extrêmes

52Fi1-52Fi57

Date

1900-1959

Mots clés matières

Cote/Cotes extrêmes

52Fi2-52Fi57

Date

1900-1942

Mots clés typologiques

Cote/Cotes extrêmes

52Fi53-52Fi55

Date

Vers 1932

Vers 14-15 ans.

Cote/Cotes extrêmes

52Fi55

Date

Vers 1946

Nombre de photos

1 photographie encadrée en version numérisée.

Caractéristiques physiques

NOIR ET BLANC

Particularité du document

Signature des photographes : Blanc et Demilly, Lyon.

Présentation du contenu

Portrait studio.