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Situé à Fareins (Ain), commune du val de Saône, à moins de dix kilomètres de Villefranche-sur-Saône (Rhône), le château de Fléchères a été construit au début du XVIIe siècle à l'emplacement d'une ancienne maison forte. Bâti à l'initiative de Jean de Sève, échevin de la ville de Lyon et acquéreur de la baronnie de Fléchères en 1606, le château restera possession de la famille de Sève et de ses descendants jusqu'aux années 1970.
Famille de Sève
La famille de Sève est une importante famille lyonnaise qui a donné plusieurs échevins et prévôts des marchands à la ville de Lyon. Elle possède la baronnie et le château de Fléchères de 1606 à 1780, c'est-à-dire de l'acquisition de la baronnie par Jean de Sève et la construction du château, la décennie suivante, jusqu'au décès d'Etienne-Horace-Gabriel de Sève.
Conseiller du roi avant de devenir receveur général des finances en 1585, Jean de Sève (1561-après 1622) est échevin de Lyon en 1601 puis prévôt des marchands de la ville de 1612 à 1614. Seigneur de Fromente et de Villette (paroisse de Saint-Didier-au-Mont-d'Or, Rhône), il acquiert la baronnie de Fléchères en 1606 et fait bâtir le château à l'emplacement d'une ancienne maison forte qui permettait le contrôle de la Saône et du gué de Grelonges. Sans postérité, il organise sa succession en 1622 et lègue ses biens à son cousin germain Mathieu de Sève.
Mathieu de Sève (+1647), seigneur de Saint-André-du-Coing et Limonest (Rhône), est conseiller du roi, échevin de Lyon en 1609 avant de devenir trésorier général au bureau des finances de la généralité en 1612. Il est prévôt des marchands de la ville de Lyon de 1630 à 1632.
La baronnie et le château de Fléchères seront transmis à ses descendants masculins sur quatre générations :
- Pierre de Sève (1602-1663), président lieutenant général en la sénéchaussée et siège présidial de Lyon, prévôt des marchands de Lyon de 1644 à 1650,
- Mathieu de Sève (1633-après 1696), lieutenant général en la sénéchaussée puis premier président au siège présidial de Lyon, prévôt des marchands de Lyon de 1694 à 1696,
- Pierre-Gabriel de Sève (+1726), lieutenant général en la sénéchaussée puis président au siège présidial de Lyon, premier président de la cour des monnaies de Lyon en 1705,
- Etienne-Gabriel-Horace de Sève (+1780), conseiller au parlement de Paris.
Sans enfant survivant, Etienne-Gabriel-Horace de Sève prépare sa succession par testament en 1765. Il lègue sa baronnie et ses possessions à sa sœur Marguerite de Sève, épouse de Barthélémi-Jean-Claude Pupil, seigneur de Myons, Corbas, La Tour-en-Jarrest, Saint-Jean-Bonnefonds, Saint-Christo et Sorbiers. À son décès, le 8 octobre 1780, ses biens sont transmis à sa nièce Françoise Pupil, fille de Marguerite de Sève, épouse du marquis Claude de Sarron.
Famille de Sarron
La famille de Sarron est une importante et ancienne famille chevaleresque du Haut-Beaujolais, qui possède de nombreuses terres aux limites des départements actuels de la Loire et du Rhône. Ils sont seigneurs des Forges, de Vareille, de Civrieux, de Saconay, de Saint-Just-d'Avray, de Valentienne, de Longeval et autres lieux et résident principalement à Lyon et dans leur château des Forges à Fourneaux (Loire).
Le château de Fléchères entre dans les possessions de cette famille en 1780, lorsque l'épouse de Claude de Sarron en devient l'héritière. Il restera dans les biens de la famille jusqu'au mariage de Cornélie de Sarron et César-Dominique Arthaud de la Ferrière en 1829.
La famille de Sarron possède le fief et château des Forges à Fourneaux depuis la fin du XVe siècle. En 1496, Philibert de Thélis et sa sœur Marguerite, épouse de Guillaume d'Orgères, l'échangèrent avec Antoine de Sarron contre tous ses biens situés à Theizé (Rhône). Les possessions de la famille vont ensuite s'enrichir à la faveur des alliances matrimoniales et des acquisitions de propriétés.
Seigneur des Forges, de Vareille et d'Epines, Rudolphe de Sarron épouse, en 1507, Antoinette Guerrier, fille d'Etienne Guerrier, seigneur de Meyzieu, qui apporte en dot ses possessions de Civrieux-d'Azergues (Rhône).
Leur fils, André de Sarron, veuf en premières noces de Claudine Damanze, fille du seigneur de Chauffailles et de Pruzilly, épouse Antoinette de Saint-Priest en 1551 et acquiert des terres à Montagny (Loire). En opposition avec Pierre, son fils aîné, André de Sarron nomme son épouse héritière universelle et un important contentieux opposera par la suite Pierre de Sarron avec son beau-père Pierre Dupérier, second époux d'Antoinette de Saint-Priest. Pierre de Sarron reçoit plusieurs terres en Forez de son oncle Louis de Saint-Priest, et fait l'acquisition de la terre de Saconay (paroisse de Saint-Symphorien-le-Chastel, Rhône) par son mariage avec Jeanne de Saconay en 1592.
Leur fils, Jean de Sarron (+1643) épouse en premières noces Anne de Fay de la Tour-Maubourg, veuve de François de Tournon, baron de la Mastre, et en secondes noces Isabeau de Rébé, veuve d'Amable Thierry, baron de Vaux. À son décès en 1643, et pendant la minorité de ses enfants, ses biens sont gérés par son frère, Antoine de Sarron, seigneur de Bacot et de Saint-Christophe-la-Montagne. Cette période de tutelle est propice au règlement de nombreuses procédures.
Le fils aîné de Jean de Sarron et Anne de Fay, Louis de Sarron (1630-1674) épouse, en 1655, l'héritière d'une importante famille du Mâconnais et du Bugey : Hélène de Rougemont (+1694), fille d'Hugues de Rougemont, seigneur de Pierreclos, et d'Isabeau Dalbon.
En 1696, leur fils, Claude de Sarron (+1731), épouse Marie-Geneviève Dupuis, fille de Claude Dupuis, seigneur de Saint-Just-d'Avray, et reçoit quelques années plus tard les possessions de son beau-père : domaines de Longeval, Valentienne et Saint-Just-d'Avray (Rhône).
Jacques-Hugues de Sarron (1700-1786) reçoit l'ensemble des biens de son père, Claude de Sarron, auxquels il ajoute au moins un domaine près de Tournus (Saône-et-Loire). Son fils aîné, également nommé Claude de Sarron (1729-1794), épouse Françoise Pupil de Myons (1741-1820) en 1762. Cette dernière fera entrer dans les biens de la famille de Sarron la baronnie et le château de Fléchères, dont elle hérite en 1780. Claude de Sarron, important propriétaire lyonnais, participe à partir de 1775 à l'entreprise d'aménagement de la presqu'île de Lyon par Antoine Perrache, qu'il soutient financièrement. Il fera notamment édifier une maison rue de la Charité. Opposé à la Révolution, il sera inscrit sur la liste des émigrés et sera guillotiné en 1794. L'ensemble de ses biens sont séquestrés avant d'être restitués à sa veuve et son fils.
Son fils, Etienne-Horace-Gabriel de Sarron (1770-1814) présentera ses preuves de noblesse le 3 août 1785 pour le service militaire. Emigré à la Révolution française, il est définitivement radié des listes des émigrés en l'an VIII et reprend possession des biens de son père. Nommé maire de Fourneaux en 1807, il épouse Marie Virginie Marest de Saint-Pierre la même année. À son décès en 1814, sa mère et sa veuve assurent la gestion des biens et la tutelle de sa fille unique, Michelle-Françoise-Cornélie de Sarron (1810-1854).
Suite à son mariage en 1829, les biens et possessions de Cornélie de Sarron, dont la baronnie et le château de Fléchères, passent dans la famille de son époux, César-Dominique Arthaud de la Ferrière (1804-1881), premier chambellan de Napoléon III et président du conseil général de l'Ain de 1861 à 1871.
Famille Arthaud de la Ferrière
La famille Arthaud de la Ferrière est une importante famille lyonnaise qui a donné un échevin et un prévôt des marchands à la ville de Lyon au XVIIe siècle. Le père de César-Dominique Arthaud de la Ferrière (1804-1881), Claude Arthaud de la Ferrière (1769-1840), est le petit-fils de Claude Rivérieulx de Chambost, prévôt des marchands de Lyon de 1776 à 1779, et seigneur de Saint-Médard-en-Forez sous l'Ancien Régime. Il embrasse une carrière politique sous le Consulat et l'Empire en devenant conseiller municipal de Lyon de 1802 à 1814 et chambellan de l'Empereur en 1813. Riche propriétaire, il soutient financièrement ses fils qui auront également des carrières remarquables.
Le château de Fléchères, entré dans la famille par le mariage de César-Dominique Arthaud de la Ferrière avec Cornélie de Sarron en 1829, restera dans les mains de la famille de 1829 aux années 1970.
La dernière descendante directe de la famille de Sève en possession du château sera Jeanne-Marie Arthaud de la Ferrière (1830-1896), épouse de François de Pierre de Bernis (1814-1898). En effet, à son décès, sans enfant survivant, le château de Fléchères passera entre les mains de ses cousins paternels, descendants d'Henri Arthaud de la Ferrière (1831-1912), jusqu'à la vente du château à la fin des années 1970.
Histoire de la conservation
Le fonds s'est constitué progressivement et peu d'éléments permettent de connaître l'histoire de la conservation de ces archives.
Le chartrier de la famille de Sarron remontant au XIVe siècle a certainement été conservé au château des Forges jusqu'au début du XIXe siècle, tandis que celui de la famille de Sève devait être conservé au château de Fléchères. Nous ne savons pas à quelle date ils ont été réunis ni les conditions réelles de conservation mais, compte tenu de leur importance pour justifier des droits des familles, ils ont probablement toujours été conservés avec soin.
Cependant, la destruction de vingt sacs d'archives du château de Fléchères, brûlés en place publique le 19 octobre 1793 à Fareins, peut expliquer les nombreuses lacunes dans les archives de la famille de Sève, notamment dans les titres de famille ou les documents concernant les aménagements ou la gestion du château.
Certainement réunies au château de Fléchères dans le courant du XIXe siècle par la famille Arthaud de la Ferrière, les archives ont été sommairement classées comme certaines mentions dorsales le laissent supposer. Sans en connaître la chronologie et les raisons précises, elles ont été laissées à l'abandon et éparpillées avant de quitter le château de Fléchères dans le courant des années 1970.
Détenues sous forme de vrac et sans identification par un libraire nantais, les archives de Fléchères sont proposées à la vente en 1977. Les Archives départementales du Rhône, associées aux Archives départementales de l'Ain, souhaitent en faire l'acquisition mais elles sont vendues entre temps à un particulier.
Un an plus tard, en novembre 1978, les Archives nationales reçoivent ces archives en don de M. Edouard Leclerc, qui est probablement l'acquéreur de la vente nantaise. Comme il s'agit d'archives particulièrement intéressantes pour le Beaujolais et la région lyonnaise, les Archives nationales déposent aussitôt ce fonds d'archives aux Archives départementales du Rhône.
Modalités d'entrées
Dépôt du 4 décembre 1978 par les Archives nationales.
Présentation du contenu
Le fonds du château de Fléchères est constitué des archives des familles de Sève, de Sarron et Arthaud de la Ferrière, familles détentrices du château de Fléchères pendant plus de 350 ans, et de leurs familles alliées.
Les archives de la famille de Sève sont principalement composées de titres d'acquisition de terres à Fareins, Chaleins et Beauregard, localités à proximité du château, et de pièces de procédures. Elles se révèlent particulièrement pauvres et lacunaires sur la construction, l'aménagement et la gestion du château de Fléchères.
Malgré l'absence de l'acte d'acquisition de la baronnie et des terres de Fléchères en 1606, les titres de propriété conservés constituent un ensemble complet et homogène.
Parmi les pièces de procédures qui nous sont parvenues, on notera le contentieux avec les Augustins de Lyon concernant des terres de Riottier, qui dépendaient anciennement de la baronnie de Fléchères (48 J 10).
Le chartrier de la famille de Sarron est particulièrement riche et composé de titres de famille, titres de propriété, pièces de gestion et pièces de procédures. Il couvre une large période du XIVe siècle au premier quart du XIXe siècle et est formé des documents les plus importants pour la famille, parmi lesquels tous les titres inventoriés en 1785 pour servir aux preuves de noblesse de la famille (48 J 12).
Les titres de propriété et les pièces de gestion (baux, conventions, mémoires, quittances, etc.) forment un ensemble homogène qui permet de connaître avec précision l'étendue des possessions et de retracer l'histoire des domaines de la famille. Ainsi, les différents titres renseignent sur l'histoire du château et des terres des Forges et du domaine de Bélair à Fourneaux et Saint-Symphorien-de-Lay (Loire), les terres de Saconay à Saint-Symphorien-le-Chastel (Saint-Symphorien-sur-Coise, Rhône), Civrieux-d'Azergues (Rhône) ou Saint-Just-d'Avray (Rhône). Souvent liées aux alliances matrimoniales ou aux successions, certaines origines de propriété sont également à chercher dans les contrats de mariages ou les testaments, classés parmi les titres de famille. On notera par ailleurs la présence de titres antérieurs aux acquisitions faites par la famille de Sarron qui sont des origines de propriété, à l'instar de la vente d'un pré à Peysselay en 1335, document le plus ancien du fonds (48 J 27).
Les procédures forment une part importante des archives, qu'il s'agisse de règlements de dettes ou d'affaires contentieuses plus importantes. Elles concernent aussi bien la gestion des domaines et des biens que des tutelles ou des contestations de succession.
À la faveur des alliances matrimoniales successives, les archives de la famille de Sarron ont été complétées de titres provenant de familles alliées. Ces archives rassemblées pour justifier des droits sont parfois très anciennes et constituent les origines de propriété de certains domaines, à l'instar des archives des familles Michon et Dupuis pour les terres de Saint-Just-d'Avray (Rhône).
On notera en particulier les titres de la famille de Rougemont, rassemblées à la fin du XVIIe siècle pour justifier des droits d'Hélène de Rougemont et de ses descendants (48 J 72-77). Ces titres, qui remontent au XIVe siècle, apportent de nombreux renseignements sur cette importante famille du Bugey et du Mâconnais. En particulier, ces archives permettent d'étudier deux branches de cette famille (seigneurs de Rougemont à Aranc dans l'Ain et seigneurs de Pierreclos en Saône-et-Loire) et l'important procès qui les concerna au XVIe siècle pour la succession d'Huguette de Rougemont.
Les archives de la famille Arthaud de la Ferrière et des familles alliées n'ont pas encore été classées et restent sous forme de vrac. À l'instar des deux autres familles, elles sont constituées de titres de famille et de titres de propriété. L'essentiel est cependant composé de pièces de gestion et de comptabilité ainsi que de correspondance personnelle de la seconde moitié du XIXe siècle.
En complément des archives de la famille de la Ferrière, on notera les quatre cartons contenant essentiellement des notes personnelles et des pièces de comptabilité provenant du marquis Dugas, rentier de Lyon et cousin des Arthaud de la Ferrière.
Évaluation, tris et éliminations, sort final
Le fonds n'a fait l'objet d'aucun tri ni élimination.
Mode de classement
Le classement du fonds s'articule autour des trois familles détentrices du château de Fléchères et, pour chacune d'elle, ont été distingués les titres de famille, les titres des biens fonciers qu'elles ont possédés, les pièces de gestion des domaines et les procédures.
Avant ce classement, seules quelques 200 pièces avaient été identifiées et numérotées, probablement par le libraire au moment de la vente en 1977. Les autres documents étaient conservés en vrac sans logique apparente et conditionnés dans une trentaine de cartons d'archives.
Conditions d'accès
Le fonds est propriété de l'État.
L'accès aux documents est libre, sauf contraintes liées au support de conservation.
Langue des unités documentaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques
Les documents sont sur papier (principalement) ou sur parchemin.
Autre instrument de recherche
Documents en relation
Archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon
Sous-série 1 B Sénéchaussée et siège présidial de Lyon.
Sous-série 2 B Justices seigneuriales du Lyonnais.
Sous-série 3 B Baillage de Beaujolais.
Sous-série 4 B Justices seigneuriales du Beaujolais.
Sous-série 6 B Cour des monnaies de Lyon.
Sous-série 3 E Minutier des notaires du Rhône.
Sous-série E-Familles.
E-Fam 2173-2197 : famille de Sarron (1627-1668).
1 J 40/1-3 Terriers de la rente noble de Laval, établis pour Pierre et Guillaume de Sève (1631-1663).
Sous-série 106 J - Fonds Ferdinand Frécon, érudit.
106 J 13 Famille de Sève.
106 J 30 Famille de Sarron.
106 J 34 Famille Pupil.
Sous-séries 1 Q et 2 Q Biens nationaux.
Voir dans l'index nominatif les cotes concernant les familles de Sarron et Pupil de Myons.
Archives municipales de Lyon
Série BB Administration communale.
Archives départementales de l'Ain
42 B 635 Inventaire après décès d'Etienne-Horace-Gabriel de Sève (18 décembre 1780).
45 B 1 Châtellenie de Beauregard (1690-1693).
46 B 89-116 Justice seigneuriale de Fléchères (1651-1791).
Sous-série 3 E Minutier des notaires de l'Ain.
Série L Archives révolutionnaires.
Sous-série 189 J Fonds Rougemont (1422-1670).
2 Fi 118 Gravures du château de Fléchères (XIXe s.).
5 Fi 157 Cartes postales de Fareins.
Archives départementales de la Côte-d'Or
B II 86/4 Copie du testament de Jean de Sève (11 juin 1622).
B 10464 Aveu et dénombrement par Mathieu de Sève, des terres et seigneuries de Villette, Fléchères et Grelonges (26 août 1676).
B 10994, 11034, 11044, 11092 Reprises de fief et dénombrements présentés à la Chambre des comptes de Dijon (1754-1769).
E 675 De Sève. Seigneurie paroisse de Beauregard en Dombes. Procès-verbaux de reconnaissances des héritages possédés par les tenanciers de la seigneurie (1675-1749).
Archives départementales de la Loire
B 1194-1835 Justices seigneuriales.
Sous-série 5 E Minutier des notaires de la Loire.
Série Q Biens nationaux.
Archives nationales
F/7/4835/2 Police générale. - Emigrés de la Révolution : dossiers nominatifs des demandes de radiation et de main levée de séquestre.
Voir en particulier les dossiers concernant Claude de Sarron, Etienne-Horace-Gabriel de Sarron et Françoise Pupil.
Bibliographie
BARNOUD (Paul), Le château de Fléchères, thèse de concours ACMH, Chambéry, 1996.
GUIGUE (Marie-Claude), Topographie historique du département de l'Ain, ou Notices sur les communes, les hameaux, les paroisses, les abbayes, les prieurés, les monastères, ... : accompagnée d'un précis de l'histoire du département depuis les temps les plus reculés jusqu'à la Révolution, Bourg-en-Bresse et Lyon, A. Brun, 1873.
LA FERRIERE (comte de), « Le château de Fléchères. Son histoire. Son style. Sa décoration », dans Visages de l'Ain, n°45, Bourg-en-Bresse, 1959, p. 40-44.
VASSEUR (Sébastien), « Le château de Fléchères : état des connaissances actuelles sur un fleuron du patrimoine », dans Dix-septième siècle, 2005/3 (n°228), p. 547-562.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Présentation du contenu
Contrat de mariage d'Antoine de Sarron et Magdeleine de Testenoire, fille et héritière du sieur de Bacot et de Saint-Christophe-la-Montagne (17 juillet 1624).
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