Caluire et Cuire sont unies en 1793 sous le nom de Caluire et font partie du canton de Saint-Cyr jusqu'à la loi du 26 floréal an V (1801) où elles passent dans celui de Neuville-sur-Saône.

Pourvu pour Cuire le 18 décembre 1771 avec baptistaire du 6 août 1739 (copie dans Archives du Rhône, 35 L 31). Reçu le 4 janvier 1772 (Archives du Rhône, BP 3924). Il réside à Caluire pendant 20 ans, s'installe à La Croix-Rousse d'où, après 3 mois, « menacé par les notaires de Lyon », il se retire pour Caluire où il reste jusqu'à Pâques 1791. En juin 1791, il retourne à Cuire-La-Croix-Rousse. Le Département ayant demandé que Caluire et Cuire-La-Croix-Rousse ne forment qu'un seul canton, il est suggéré que Bassereau soit nommé à Caluire, que Lanyer reste à Lyon et qu'Omelle et Puy restent à Cuire-La-Croix-Rousse. Considérant qu'un arrêt du Conseil a fixé la résidence de Bessereau à Caluire, et estimant que deux notaires suffisent au canton, la municipalité de Cuire-La-Croix-Rousse désigne Omelle et Puy et demande que Bassereau soit désigné pour Caluire (Archives du Rhône, 35 L 31). Bassereau conteste comme étant le seul à avoir les provisions adéquates et parce que, selon le décret, la réduction des notaires ne peut s'opérer que par mort ou par démission (Archives du Rhône, 35 L 31). En 1795, il demeure à La Croix-Rousse, quartier Saint-Clair, au n° 14, puis au n° 8 en 1797 et 1798. Il passe à Lyon où il exerce en 1813.

Exerce de 1772 à 1812. Succède à Marc François PUY à Cuire (1757-1771).