Ce portail est conçu pour être utilisé sur les navigateurs Chrome, Firefox, Safari et Edge. Pour une expérience optimale, nous vous invitons à utiliser l'un de ces navigateurs.

Regards pour l’Histoire

Dessiner et filmer les procès de mémoire

Klaus Barbie, un procès exceptionnel à tous égards. Ce premier procès en France pour crime contre l’Humanité était aussi le premier procès filmé en application de la loi de 1985 créant les archives audiovisuelles de la Justice. Dans les années qui suivirent, les procès Touvier (1994) et Papon (1997-1998) ont prolongé ce travail de Justice et de mémoire.

L’exposition propose d’interroger la transmission des trois grands procès en croisant les regards du dessinateur de presse Jean-Claude Bauer, des captations audiovisuelles et de la bande dessinée publiée 35 ans après le procès. Elle permet ainsi, d’une manière inédite, d’entrer au cœur de ces pages d’Histoire douloureuses et nécessaires. 

Exposition réalisée avec le concours des Archives nationales de France.

Cette exposition de 14 rollup (format 850 x 2000 mm) est accompagnée par : 

  • 4 vidéos réalisées par les Archives nationales à l’occasion de l’exposition audiovisuelle « Filmer les procès, un enjeu social : de Nuremberg au génocide des Tutsi au Rwanda », 2020,
  • Le procès de Klaus Barbie, 1er enregistrement audiovisuel en France (15 mn), 
  • Le procès de Paul Touvier, le rôle de la milice française (25 mn), 
  • Le procès de Maurice Papon, un procès sous tension (25 mn),
  • Une histoire documentaire des procès filmés (16 mn),
  • Un livret d’accompagnement à la diffusion (présentation des vidéos, biographie de Klaus Barbie, éléments de définitions juridiques),
  • Un dossier pédagogique réalisé par un professeur-relai des archives, sur une sélection de documents concernant Klaus Barbie et notamment son procès devant la cour d’assises du Rhône, à Lyon, en 1987, pour « crimes contre l’humanité et complicité ». 

Ce site utilise des cookies techniques nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne contiennent aucune donnée personnelle et sont exemptés de consentements (Article 82 de la loi Informatique et Libertés).

Vous pouvez consulter les conditions générales d’utilisation sur le lien ci-dessous.

En savoir plus