

Vous trouverez ici les preuves de noblesse présentées, de 1514 à 1789, par les candidats à la réception comme chevaliers de l’Ordre de Malte pour la « Langue d’Auvergne », une des huit circonscriptions géographiques constituées pour l’administration de l’Ordre (cotes 48H89 à 48H113).
Les candidats chevaliers devaient justifier de quatre quartiers de noblesse, tant du côté maternel que paternel : pour cela, des dossiers de preuves de noblesse ont été constitués et, parfois, des arbres généalogiques armoriés ont été joints à leur demande.
La « langue d’Auvergne » s’étendait sur le territoire actuel de vingt-et-un départements français (Ain, Allier, Ardèche, Cantal, Charente, Cher, Corrèze, Creuse, Drôme, Haute-Loire, Haute-Vienne, Haute-Saône, Indre, Isère, Jura, Loir-et-Cher, Loire, Puy-de-Dôme, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie) et du Genevois : l’intérêt de ces preuves de noblesse dépasse donc très largement le Lyonnais, le Forez et le Beaujolais.
L’interrogation s’effectue à partir de la liste alphabétique des patronymes. Il est rappelé que l’orthographe de ceux-ci a sensiblement varié au fil du temps ; certains patronymes ont également été développés du nom des seigneuries acquises progressivement. L’internaute est donc invité à essayer plusieurs orthographes ou, mieux encore, à consulter la liste déroulante.
La consultation de l’inventaire complet, accessible ici, permet de prendre connaissance d’une description d’ensemble du fonds.
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